La première partie, intitulée "IA : le couteau suisse moderne du développement", présentée par Samuel Calegari (DSI), a permis de faire un tour d’horizon des nouveaux outils qui bouleversent les pratiques du développement logiciel. Entre plateformes no-code comme N8N ou Glide, assistants IA proactifs tels que Windsurf ou Cursor, et solutions hybrides combinant JetBrains et GitHub Copilot, la démonstration a illustré comment l’IA permet aujourd’hui de mener des projets complexes sans écrire une ligne de code. À travers des exemples concrets, les participants ont pu mesurer les gains de productivité et la montée en puissance de ces technologies.
La seconde partie a ouvert un échange libre, animé par Amira Mouaker, sur les enjeux de soutenabilité et d’encadrement liés à l’usage de l’IA dans l’enseignement supérieur. Les discussions impulsées par des questions/réponses ont permis de mieux saisir les impacts environnementaux de l'IA, liés à la consommation d'eau et d'énergie.
Ce moment convivial, fidèle à l’esprit du cycle, a permis de questionner collectivement les transformations rapides à l’œuvre dans le paysage académique.